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Une épreuve extrémement facile pour débuter cette licence International A. Il faut freiner l'Aston Martin DB11 '16 au bout de la ligne droite de Suzuka pour enchaîner les deux virages. Avec un peu d'appui sur l'avant, en gardant un peu de frein, cela passe très facilement, en prenant les deux virages comme un seul long.
Après s'être reposé sur l'épreuve IA-1, retour à la difficulté avec cet enchaînement de virage en Lamborghini Diablo GT '00. Le premier freinage est à mon humble avis l'un des éléments clés de la réussite de cette épreuve. Ensuite, cette Lambo est une voiture extrèmement réactive et chaque réaccélération doit être parfaitement dosée. D'ailleurs, si vous regardez ma vidéo, vous verrez que j'ai eu une micro chance, en démarrant un micro-drift qui s'est arrêté pile en face de la sortie pour une réaccélération directe et plein gaz. Mais ce n'est, je pense pas la bonne solution passer cette épreuve.
Après un énorme pickup anémique, une voiture de route très fun à piloter, c'est au volant d'une voiture de course de rallye qu'il faudra passer cette dernière épreuve "tout-terrain". La Ford Focus Gr. B Rally Car dispose d'un fort grip. Cela ne l'empêchera pas de glisser, cependant, elle gardera une direction très précise, tout en reprenant rapidement de la vitesse à l'accélération. Après un saut tout en aveugle, il faudra trouver le bon point de freinage pour entammer, en anticipation du virage, une grande glisse et enrober les deux virages. Ensuite, les 2 S et le virage final se passent tout simplement. La difficulté est de glisser le plus possible en entrée de virage pour replacer la voiture face à la prochaine ligne droite pour reprendre l'accélération. Personnellement, je me suis régalé sur cette épreuve, et d'ailleurs, vous le verrez sur la vidéo, avec un peu d'entrainement sur les surfaces à faible adhérence, elle se fait très facile, ici avec plus d'une 1/2 seconde d'avance.
Comme la plupart des voitures routières roulant à grande vitesse, cette Ferrari Testarossa '91 saturera complètement son train avant, au freinage. La voiture ne commencera à tourner qu'une fois le frein relaché, au moins partiellement. Il est donc important de ne pas tenter de freinage tardif. Pour ma part, je l'ai essayé sans pression, et c'est passé très très juste, à 1 millième de seconde près.
Découverte des 24h du Mans au volant de cette Nissan R92CP '92. Après de nombreuses épreuves avec des voitures de série, prendre en main ce prototype et son énorme grip ne sera pas forcément aisé. Il faudra peut être plusieurs essais pour jauger sa tenue de route phénoménale. Freiner tard, accélérer tôt, il ne s'agit ensuite que de connaitre le circuit, car, il est très plat et de notre côté, nous sommes très près du sol. On ne voit pas vraiment bien les virages, il est donc préférable de savoir où l'on va, et de travailler sa trajectoire.
Voici une épreuve qui pourra en faire criser plus d'un. Passer le fameux tire-bouchon du Mazda Raceway de Laguna Seca ne sera pas facile, tant il destabilise la voiture. La Dodge Viper GTS '02 est un monstre de couple sans puissance. Ce qui veut dire qu'elle peut se mettre en drift à la moindre accélération non dosée, mais ensuite ne prendra pas forcément de la vitesse. Pour passer facilement ce virage, je vous conseille de vous mettre immédiatement sur la gauche de la piste, pour repasser à droite au premier micro-virage, ainsi vous serez parfaitement positionné pour le tire-bouchon qu'il ne faudra pas aborder trop vite, et si possible d'une ligne droite.
Bien moins compliquée que la précédente au volant de la M3, cette dernière épreuve sous la pluie nécessitera tout de même une sacrée vigilance. L'Alpine A110 '17 est bien plus stable, mais cela reste une propulsion très joueuse. On connait bien ces virages de Tsukuba, puisque nous y avons déjà fait un tour à 2 reprises. Il faut donc se servir de cette expérience pour enchaîner les premiers virages. Pour l'épingle finale, j'ai opté pour une approche totalement différente. Plutôt que d'enrober un peu le virage, j'ai choisi de le passer en mode "pointe" afin de reprendre l'accélération le plus tôt possible jusqu'à la ligne d'arrivée.
On approche de la fin, et cela se sent, les épreuves se passent bien moins facilement qu'au début, non ? Pour cette épreuve, il faudra rouler comme sur des oeufs. Les deux premiers virages se passent à fond, mais il faut placer la Toyota GR Supra RZ '20 à l'aveugle, lors du second pour freiner de manière stable et passer l'épingle en dévers sans perdre trop de vitesse. Les virages qui suivent s'enroulent tranquillement mais il faut garder en tête qu'il faut sortir du dernier en accélération maximale pour rejoindre la ligne d'arrivée avec la vitesse la plus élevée.
Mise en bouche préparatoire pour la dernière épreuve, il faudra traverser la partie intérieure de Deep Forest au volant de la Renault Mégane Trophy '11. Cette voiture de course est assez performante, et il faudra éviter de trop en faire. Il est important d'optimiser ses points de corde qui changent régulièrement de côté afin d'obtenir le maximum de mini lignes droites pour reprendre de la vitesse et positionner son freinage.
Si vous ne connaissiez pas le Nurburgring, vous allez vite apprendre son petit surnom, l'Enfer Vert. Et je serai bien mal avisé de vous donner des conseils pour cette épreuve tant j'ai eu du mal à obtenir l'or. Pour y arriver j'ai parcouru environ 400km au volant de cette AMG Mercedes-AMG GT R '17. C'est de loin l'épreuve la plus difficile à passer, et pourtant, au moment où j'écris cette partie du guide, j'ai déjà quelques épreuves du permis Super en or. Chaque virage est un piège, chaque prise de vitesse est un risque, chaque freinage donne des angoisses. Au final, il est préférable d'y aller zen, et d'essayer d'enrober tous les virages. Obtenir ce permis en or, d'autant plus sans Contrôle de traction, est un vrai achievement à lui tout seul.
