Propulsé par CaMykS
Dans cette première épreuve du Expert National A, il faut simplement perdre un peu de vitesse, tout en positionnant la voiture pour prendre la trajectoire plein gaz jusqu'à l'arrivée. La petite Peugeot 208 GTI by Peugeot Sport '14 n'est pas très performante, il faut donc doser le freinage pour garder une vitesse au dessus des 125/130 km/h dans le premier virage.
Cette épreuve est identique à la précédente, si ce n'est que la Mazda RX-7 (FD) Spirit R '02 est bien plus performante. Pour le premier virage, il est toujours nécessaire de freiner, mais la RX-7 est capable de passer légèrement plus vite. La voiture étant puissante, le positionnement sera plus difficile à faire pour trouver la trajectoire qui reste identique. Ensuite, c'est toujours à fond avec éventuellement un léger et bref laché de gaz pour garder le bon positionnment de la voiture sur la trajectoire.
Cet exercice n'a rien de compliqué, c'est un simple extérieur-intérieur-extérieur. La difficulté sera de trouver le bon point de freinage, mais surtout de trouver le bon point de réaccélération sachant que nous n'avons aucune visibilité dans le virage. Nous vous invitons à garder du frein pour le début du virage pour placer la voiture avec facilité, une fois le point de corde passé, on reprend l'accélérateur doucement, et à fond un peu avant de voir le bout de la piste. La Alfa Romeo Giulia GTAm '20 est assez stable lors de la reprise des gaz, ce qui facilite l'épreuve.
Il s'agit certainement de l'épreuve la plus dur de cette license. Ici le fantôme intégré est notre meilleur ami. Comme vous pouvez le voir sur la vidéo, il s'agit ensuite de lui coller au train, sans perdre trop de temps. En effet, il n'y a que peu de différence entre l'objectif de l'or et le temps réalisé par le fantôme. La Ferrari F12 Berlinetta '13 est très agréable et très stable, mais c'est peut être le seul point positif de cet exercice.
Au premier virage, il faut faire un freinage dégressif pour conserver une vitesse de 160km/h et l'appui sur les roues avant, tout en positionnant la voiture pour le virage suivant qui arrive très vite. D'autant plus qu'il faut reprendre les gaz pour éviter de perdre quelques millisecondes très précieuse. Même punition sur le second virage, avec une vitesse de 140/150 km/h et un appui qui permet de conserver l'intérieur jusqu'à voir le virage suivant à gauche. Pour les deux droits suivant, pas de freinage, mais pas de à fond non plus. Ll faut placer la voiture avec de légers lachés de gaz pour aborder le dernier virage avec un coup de frein tôt, en maintenant une vitesse proche des 200km/ h, en le passant à l'aveugle et à pleine charge sur la fin.
Après s'être bien pris la tête en ville, un peu de détente sur la neige. En fin, pas tant que cela, car si l'épreuve n'est pas très difficile, elle nous pousse tout de même à, d'une part conserver le plus de vitesse, et d'autre part reprendre la motricité le plus rapidement possible. La Ford Focus RS '18 est très agréable sur la neige et permet de se concentrer sur le pilotage. Sur la neige, sans freinage, la voiture ne tournera pas. Avec un freinage dégressif, on va d'abord perdre de la vitesse, puis appuyer sur l'avant pour conserver le maximum de manoeuvrabilité. Dès que le point de corde est passé, on reprend l'accélération sans forcer en cherchant la motricité. Enfin, il faut sentir le bon moment pour reprendre les gaz à fond.
Dans cet exercice, il suffit de passer un enchaînement de virages au volant de la Genesis G70 3.3T AWD Performance Package '22. C'est une voiture performante, mais qui reste assez lourde et donc avec pas mal d'inertie. Le premier virage se passe sans freiner mais pas forcément à fond. Avec un léger laché de gaz, cela permet de positionner le S qui suit et qui doit se passer à pleine charge. Enfin, il faut trouver le bon point de freinage pour aborder l'épingle, puis patienter avec une reprise des gaz progressive.
On revient à des épreuves un peu plus faciles. La BMW M3 '07 est plus dynamique, mais Dragon Trail peut être plus difficile à appréhender. Il faut donc commencer par apprendre la bonne trajectoire, qui reste assez classique. Ensuite, il s'agit d'adapter sa vitesse, ses freinages qui serviront plus à placer sa voiture et enfin, placer des accélérations dès que les roues avant sont droites pour reprendre et maintenir sa vitesse. Le pilotage sur la vidéo n'est pas très propre, car l'or a été obtenu vraiment très rapidement, avant que nous ne puissions faire quelque chose de propre.
Comme l'épreuve précédente, la Nissan Skyline (R33) GT-R V-Spec '97 est si facile à conduire, qu'il faut uniquement se concentrer sur la piste et la trajectoire. L'exercice est composé d'un enchainement lent puis d'un enchainement rapide. Pour réussir, il est nécessaire de freiner plus au début/milieu de l'enchainement lent pour en sortir à pleine charge. L'enchainement rapide se passe ensuite tout à fond. Dans la vidéo, vous verrez que pour notre premier essai, le fantôme, nous avons essayé de passer le premier enchainement plus vite, mais que la différence de vitesse est nettement marquée dès la sortie de cet ensemble de virages.
Cette épreuve peut faire peur, car il s'agit de mener une Porsche 911 993 Carrera RS '95 sur un gros freinage puis une grosse accélération sous la pluie. Mais au final, elle n'est pas si difficile que cela. Elle nécessiterai peut être plusieurs essai pour trouver le bon point de freinage, puis pour voir la trajectoire qu'il faut absolument tenir, car elle est légèrement plus sèche que le reste de la piste. Enfin, c'est un dosage de l'accélération qui permet de ne pas envoyer la voiture dans les murs.
À noter que nous avons mis exceptionnellement un SCT à 2 pour cette épreuve, mais nous pensons qu'il est tout de même d'obtenir l'or sans, avec une gestion encore plus fine de l'accélération.
L'examen final est loin d'être le plus compliqué. Par contre, c'est certainement l'un des plus agréables de cette licence. On reprend tout ce que l'on a vu ou presque pour passer un très long ensemble de virages au volant de la AMG GT Black Series '20. Cette GT est très très performante, mais contrairement à une Porsche ou une Ferrari dont la montée en régime est rageuse, l'AMG mise un moteur dont le couple permet une poussée assez linéaire mais avec tout autant de puissance. Et cela nous arrange, car cela est bien plus facile pour enchainer des virages, qu'ils soient rapides ou lents.
Dans le détail, on recommence là ou on avait arrêter avec l'Alfa dans l'épreuve EA-3. On profite de la descente pour prendre un maximum de vitesse. Le premier virage est ouvert et ne nécessite donc pas un gros freinage. Aux alentours des 140 km/h, n'hésitez pas à aller manger les vibreurs à l'intérieur, puis à l'extérieur. Rapidement, on reprend les gaz pour acquérir de la vitesse, comme avec la Ferrari dans les tunnels en EA-4. Ensuite, c'est à nouveau un freinage très appuyé pour arriver à 120km/h dans le long droit dans lequel il faut patienter afin de ne pas ressortir trop à l'extérieur pour sauter directement dans l'enchainement suivant. Il commence rapide, avec des possibilités des reprises de vitesse entre les virages, puis lent où il faut à nouveau patienter pour passer les virages, pour enfin se remettre en mode rapide pour une sortie à pleine charge vers l'arrivée.
N'hésitez pas à travailler votre trajectoire car, avec le nombre important de virages, il faut arriver à la tenir tout le long, sans excès sur la pédale de droite.
