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Vous avez aprécié les missions de dépassement précédente ? Vous allez adorer celle-ci. Le circuit est différent, et n'est pas des plus faciles. Mais, en plus, le différentiel de puissance est encore plus grand, au volant de la SRT Tomahawk VGT Gr. 1 avec les autres voitures, toutes issues du groupe 4. Et donc, des possibilités de collision encore accrues. Jusqu'à la Viper, après le virage en tire-bouchon, il suffit de tenir la corde, les autres voitures vont s'en écarter pour rester au milieu de la piste. Pour dépasser la Viper, il faudra prendre le virage large, sans pour autant sortir de la piste. Vous devriez rattraper la Corvette dans la dernière ligne droite.
Cette épreuve me rappelle tellement mes parties de SEGA Le Mans GT sur borne d'arcade, que de beaux souvenirs ! Reproduire les 24h du Mans dans Gran Turismo, quel bonheur, ou presque !
En effet, le début de la course se passe plutôt bien. Pendant les deux premiers tours, on est bien, au volant de la Groupe 1 de votre choix, ici la Porsche 919 Hybrid '16, avec une configuration Gros turbo + ailerons abaissés presque au minimum + boite réglées à 340 km/h. Au troisième tour, les ennuis commencent. La nuit arrive, et lorsqu'elle est bien noire, la pluie s'y met aussi.
Je préconise donc de partir en vue capot avec des pneus Course tendre, de rusher les 2 premiers tours pour rattraper le plus de monde possible. A la fin du second tour, rentrez au stand pour mettre des pneus Course pluie, même si la pluie n'est pas encore là. Faites le plein aussi.
Vous allez perdre pas mal de places, mais ce n'est pas grave. En attendant la pluie, attention, car ces pneus sont loins d'être les plus efficaces. Sur la vidéo, vous verrez que l'adaptation aux pneus n'a pas été simple pour moi avec une multiplication des erreurs. Mais dès que la pluie arrive, les adversaires commencent à sortir de la piste et à réduire fortement leur vitesse. Si cela se passe bien, après la valse des stands vous devriez être 3ème (ou mieux).
Les adversaires chaussent des Intermédiaires qui ne sont pas suffisamment performants sous cette pluie de dingue. Vous les rattrapez sans problème et vous pourrez leur mettre une bonne vingtaine de seconde dans la vue avant que la pluie ne se calme.
Ensuite, il s'agit de gérer son avance jusqu'au 6ème tour. En attaquant le 7ème premier, les adversaires vont rentrer au stand pour de nouveau changer de pneus. Erreur fatale, puisqu'ils sortent des stands et entre dans le 7ème tour alors que la course est finie. Vous n'avez plus qu'à finir tranquillement votre dernier tour. Contrairement aux autres missions, je suis parti en vue extérieure, historique de Gran Turismo, à la place de la vue intérieure, plus réalisete. Car la nuit, on ne voit pas grand chose, et lorsque la pluie s'ajoute, cela devient impossible de discerner quoi que ce soit. De plus, prévoyant la pluie, le SCT est placé à 1.
Certainement le défi cônes le plus facile du jeu, bizarre qu'il soit dans les dernières missions. Il suffit de suivre la ligne de cônes, en gardant bien la voiture au milieu. Il faut rouler plein gaz sur toute la première partie du circuit, vous serez de toutes façons freiné par les cônes. Sur les derniers virages, il faut lâcher l'accélérateur pour se concentrer sur la trajectoire et reprendre l'accélération dès que possible.
Cette épreuve de dragster n'est pas bien plus difficile que la précédente. La vraie seule différence est que l'on passe d'un 1/4 de mile à 1/2 mile. Il faut donc tenir la distance. La Nissan GT-R (R35) NISMO '17 continue de faire son taff, avec une boite réglée pour une vitesse maxi supérieure à 300 km/h.
La Chaparral 2J '70 est un monstre qui nécessite un apprentissage rien qu'à lui. En effet, cette voiture dispose d'une tenue de route bien à elle, grâce à la fameuse jupe, qui lui confère une adhérence hors du commun. On passe donc les virages bien plus vite qu'avec une autre voiture. Cette mission n'a rien de difficile une fois que l'on gère un peu la bête. Comme vous pouvez le voir sur la vidéo, ce n'est pas terminer la course le plus dur, mais gérer la voiture et éviter les autres.
Lancement plein gaz, pour doubler la Shelby Cobra Daytona Coupe '64, pendant le freinage du premier virage. On fonce ensuite à nouveau dans la longue ligne presque droite. Le nez dans la Ford Mark IV Race Car '67, il faut lâcher les gaz, en faisant attention à la prise de grip qui peut nous envoyer dans le mur. Puis reprendre pour la doubler avant le virage serré suivant. On double la Jaguar XJ13 '66 dans l'enchainement qui suit, en gardant bien l'intérieur. Puis on se met en chasse de la Ferrari 330 P4 '67, que l'on doublera dans la dernière ligne droite. Attention le dernier virage ne se passe pas à fond, un léger coup de frein suffit.
Certainement la mission la plus difficile de cette série. Une nouvelle fois, le volant a été abandonné pour passer cette épreuve à la manette. Et nous avons poussé le vice, sur réussite visible en vidéo, à augmenter la sensibilité de la manette de 1 à 7. Ensuite, c'est assez simple, dans la théorie. Il suffit d'enchainer un petit gauche, un petit droite, puis un grand gauche tout en driftant. Mais ça, c'est la théorie, dans les faits, cela peut vous déprimer, sauf si vous avez un talent pour le drift, évidemment.
Ensuite, ce n'est que de l'entrainement, rien que de l'entrainement. Avec le temps, et un nombre d'essais incalculable, cela finit toujours par passer.
Cette épreuve de Tour magique est comme les précédentes, fantastique à réaliser. Vraiment, ces épreuves sont parmi les plus chouettes de ces missions. Le niveau s'élève encore un peu avec cette dernière dédiée à l'univers Porsche. Au volant de l'incroyable Porsche 919 Hybrid '16, il va falloir rattraper 7 modèles parmi les plus mythiques de la même marque, sur la piste de La Sarthe.
Le départ se fait au bout de 75 secondes, je vous invite à vous entrainer sur la piste avant si vous ne la connaissez pas, pour la réussir rapidemement sans multiplier les attentes. La 919 est un monstre de tenue de route, avec son énorme aileron arrière, mais les lignes droites ne sont pas son fort. SCT 1 au départ, pour ne pas patiner inutilement, notre but va être de rattraper la Porsche 962 C '88 dans l'enchainement du début, pour se caler dans son aspiration tout au long de la première ligne droite. Au final, c'est la Carrera GT '04 que l'on double dans la première chicane, et si possible, se remettre dans l'aspiration de la 962 C pour la ligne droite suivante jusqu'à la chicane qui suit. Après cette dernière, elle reste coincée derrière la 911 GT1 Strassenverion '97, on double les deux en même temps.
Ensuite, il s'agit de maîtriser la piste, au volant d'une voiture parmi les plus capables, et dans une configuration tenue de route maximale. Les voitures qui restent sont des 911 GT3 de différentes générations, qui vont se défendre lors des vitesses de pointe, mais qui ne feront pas le poids lors des passages en courbe et les réaccélérations. La 911 Carrera RS CS (993) '95 se dépasse dans les dernières chicanes juste avant la ligne d'arrivée.
Si vous prenez le temps de regarder la vidéo, vous verrez que je fais peu d'erreurs, mais que je prends mon temps, pour ne passer rater un virage, synonyme d'échec. Je touche un peu les deux voitures de tête, mais la victoire étant pratiquement gagnée, je me suis relâché un peu avant la fin.
Dernière épreuve de cette série, cette n'est pas forcément la plus dure. Il s'agit d'une petite endurance pour laquelle, il n'est pas besoin de passer aux stands pour changer de pneu ou charger en essence.
En 20 minutes, vous devrez faire 10 tours, il est nécessaire d'être constant et maintenir un rythme constant autour des 2'10 par tour, sachant que lors des 3/4 derniers tours la nuit tombe et que, si vous n'en avez pas l'habitude, vous ferrez forcément des erreurs, et serez donc un peu moins rapide.
Connaitre le circuit de Mount Panorama est évidemment un avantage. La vidéo montre notre première réussite sur cette épreuve. Nous avons fait énormément d'erreurs de pilotage, mais malgré cela, nous avons réussi à tenir le rythme. Après quelques essais avortés, nous avons remarqué que nous gagnions du temps sur la partie haute du circuit, quitte à en perdre un peu ailleurs, mais assurer un tour sans tête à queue.
Ce pari a été payant car nous avons rattrapé la voiture de tête lors du 5ème tour. Ensuite, il a suffit de maintenir l'avance, en essayant de creuser sur les secteurs où l'on était le plus à l'aise.
Pour plus de confort, sur cette épreuve où nous n'étions pas à l'aise et qui requièrait une forte dose d'attention, nous avons utilisé la vue capot à la place de l'habituelle vue intérieure.
